hors rp : dsl de ma longue absence j'étais en cyclo
Lilou. si sa convient pas pour ton perso change le.
Krum, en trainant des pieds, émerga de la petite foule qui avait commencé à se former à la mention du mot fouet. Son long pagne de cuir taché trainait sur le pont mouillé au rythme de ses pas pesants. Dans sa main gauche, il serrait un bout de bois rond d'une dizaine de centimètre et dans sa main droite reposait un fouet de cuir noir dont la poignée en os de baleine était gravé de scène de torture.
Il avança de sa lourde démarche jusque devant la capitaine, la toisa sévèrement puis lui tendit le fouet avec un sourire énigmatique. Dans sa tête, il revoyait la même jeune femme qui se tenait devant lui, dix ans plus tôt, courrir sur le pont, une épée de bois au poigt. Il la revit courrir en larme vers le vieux capitaine qui lui avait servi de père parce qu'un matelot avait briser sa poupée favorite, quel plaisir se jour là Krum avait-il eu à punir le pirate!
C'est à cela que pensait le vieux loup de mer en marchant de son pas traînant vers la planche que Mirto préparait avec fébrilité.Krum enfonça le bout de bois entre ses dents grises et repoussa rudement le pirate qui prétendait l'attacher, avant que celui-ci ne revienne à la charge, Krum commençait déjà à se ficeler lui même.
Son travail fait, il attendit que la capitaine aie fini d'expliquer à l'équipage pourquoi elle le punissait. À qu'elle avait changer la petit Liloucia, dire qu'à peine dix ans plus tôt, il la prenait encore sur ses genoux pendant les tempêtes.
Liloucia leva son fouet et toute l'assistance se tut soudain, pour Krum, il semblait que le temps s'était arrêté, Il espéra qu'elle ne trésaillerais pas à la vue du sang car elle aurais ainsi montré à toute l'équipage une faiblesse.
Le fouet s'abatit soudain ramenant ses pensés au présent et à la douleur qui lui vrillait le dos. Puis un deuxième coup suxeda au premier et un troisième au deuxième et il en fût ainsi jusqu'au onzième coup, la douleur était alors telement insoutenable qu'il ne put empècher ses jambes de trésaillir mais il taint bon et au douzième coup, il sairrait les machoirs si fort que le bout de bois vola en éclats.
Des marins vinrent le détacher il se retourna en chancelant vers l'équipage. Il arracha des mains un rouleau de tissus à un pirate proche et commenca à panser ses blessures. Il regarda d'un oeil mauvais les matelots qui continuaient de l'observer et aboya:
-Non mais vous avez jamais vu un suplicier de vot' vie !? R'tournez à vos postes bandes d'marins d'eau douces!
Il lança un regard vers Liloucia et cru déceler un peu de tristesse au fond de ses yeux, mais elle se détourna et partit surveiller le travail de l'équipage. Comme son père, elle est comme son père, songea-t'il.