Conversation avec Maximilian...

Liloucia arriva dans sa chambre, jeta son révolvère sur son lit et fit de même avec son sabre. Un petit bolle d'eau trônait sur une petite table et une serviette y trempait. Liloucia la sortit puis se lava le visage et les mains. Toute cette agitation lui avait donné chaud malgré qu'elle s'était bien amusé dans cet abordage. Après s'être bien rincé le visage, elle s'essaya avec une serviette sèche qui trainait un peu plus loin puis s'assi sur sa chaise attendant impatiement l'arrivé de Maximilian qui tardait à arriver. Elle n'était pas très contente de sa facon d'agir lors de l'abordage. Il aurait tout de même pu lui parler de sa stratégie! Ce n'est pas comme s'il n'en avait pas eu le temps. Du moins, c'est ce qu'elle se disait. Peut-être l'avait-elle appeler uniquement pour avoir un prétexte pour qu'il vienne dans sa chambre... mais évidament, s'était un sentiment refouler et bien enfui au plus profond de son âme.

Invité

Maximilian regardit la scène. Aussitôt que tout le monde se rengea en rang, il décida d'éteindre la lampe afin d'éviter de malencontreux accidents. Il était sur le point de descendre, qu'il entendit la voix de Liloucia lui criant de se rendre à sa chambre. Max savait très bien qu'il allait se faire engueuler. Mais pourrait0il se trouver un échappatoir en jouant avec les sentiments de cette femme? Il pourrait sans doute. Mais pour l'instant, il décida de descendre du mat, puis d'aller sur le pont du navire pirate. Il partit en direction de la chambre du capitaine ayant peur de sa réaction. Toutefois, il eu la prudence d'aller ranger toute ses bombes à l'intérieur de son coffre avant d'aller rejoindre la capitaine à ses cartiers. Il fit comme d'habitude, il frappa nerveusement trois léger coups à sa porte, attendit quelques instant avant d'ouvrir lentement la porte.

Il y vit Liloucia, toujours aussi belle qu'avant, la légère ''rosée'' accompagnant son doux visage. Mais si elle ne semblait pas contente, Max la trouvait si belle. Mais la, il était dans lke trouble. Il avança de quelques petits pas puis dit une légère tension dans la voix:
-Vous m'avez demandé capitaine?

*Il était temps* Pensa Liloucia en voyant Maximilian entré. Elle lui lancait toujours le même regard non fier.
-Évidament que je vous ai appelé! Liloucia prit une bonne respiration puis rajouta plus calmement: Veuillez fermer la porte. Lorsqu'il eu exécuté ses ordres, elle continua:
-J'espère au moins que vous en connaissez la raison! Je ne suis pas fier de votre attitude Maximilian!Liloucia se leva rapidement, les 2 point fermer sur la table et les bras tendu Elle tentait de faire comprendre la gravité du geste de Maximilian bien qu'il avait aidé plus qu'autre chose mais Liloucia était trop orgeilleuse pour avoué qu'il avait bien agit... Votre mascarade était bien innutile à bord du navire marchand! S'il ne vous avait pas prit au sérieu! Nous aurions eu l'air de quoi pourriez vous me le dire! Et puis s'il y aurait eu un accident et que le navire aurrait explosé! J'aurrais perdu des hommes et encore pire! J'aurais perdu un navire! Mais que-ce passe-t-il dans cette tête de cochon que vous avez là! Des fois je me demande pourquoi je vous garde à bord mon cher!

C'est à se moment qu'on cogna à la porte. C'était Sayer qui arrivait un peu crispé.

- Entrez! cria-t-elle l'air furieuse d'être déranger.

- Désolé de vous interrompe Capitaine mais... le navire d'Azurerath est en vue... et plutôt proche... dit-t-il plutôt inquiet de la réaction de sa capitaine.

- Quoi!! Mais pourquoi personne ne m'a averti! Dit elle en donnant un bon coup de point sur la table telement elle était furieuse. Il ne sagissait pas de n'importe qu'elle bateau... c'était celui de son pire ennemi et elle n'était pas dutout préparez. Elle se retourna vers Maximilian qui la regardait d'un air interrogateur. Elle prit à nouveau une bonne respiration. Le pire était de s'énerver, il fallait à tout prit qu'elle garde son calme.

- Nous continurons cette conversation plus tard Maximilian, il y a des choses plus importante à faire. Elle tourna alors la tête vers Sayer qui ne savait pas trop quoi faire puis sortit de la pièce d'un pas rapide le poussant sur le côté. Pauvre homme... sa place n'était certe pas sur un navire.

(ça continu sur le pont)